Mon parcours
Je suis praticienne en massage bien-être certifiée par la FFMBE. J'ai suivi plusieurs longues et solides formations bien-être avec des modules d'Anatomie Humaine (440 heures) où j'ai acquis différentes techniques afin de m'adapter aux besoins de la personne à travers le "toucher".
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Cela a commencé vers l'âge de 5 ans, quand mon père s'allongeait au sol et me demander de lui marcher sur le dos pour soulager ses douleurs chroniques.
En grandissant, quand mes proches avaient des douleurs, ils me demandaient de "poser la main là où ça fait mal".
Plus tard, ma mère me confie que son grand-père soulager les maux des villageois en posant simplement ses mains sur eux. Comment des mains pouvaient-elles faire du bien? J'y reviendrais plus tard.
Je suis passionnée par le bien-être depuis que j'ai ressenti les effets qu'il procurait sur mon corps et sur mon mentale. De nature altruiste et empathique, c'est tout naturellement que je me suis dirigée vers ce métier, afin d'accompagner les personnes vers un état de détente profonde et à se reconnecter à leur corps à travers le toucher et d'autres outils de relaxation.
Puis, quand j'ai commencé à me former, j'ai ressenti cette "trans du masseur", qui entre en mouvement comme dans une danse et qui m'amenait dans un état de calme profond.
Avec l'expérience, j'ai pu observer "la mémoire du corps" et le toucher "psycho-corporelle", également en ressentant d'abord sur moi-même. Par exemple, notre corps à imprimer et se souvient des gestes maternisant et relaxant de notre enfance, les retrouver à travers le massage bien-être permet au corps de se relâcher et d'être en confiance, ce qui va se répercuter sur le plan psychologique.
Revenons-en "aux mains qui font du bien", par les mains beaucoup de choses passent : on peut donner de la douceur, du soutient, une attention, une écoute dénuée de jugement... Une main remplit de chaleur humaine avec un contact en présence, dans le respect et l'amour "universel", à l'écoute du corps de l'autre et de ses sensations... ne peut que nous apaiser dans une société où nous avons perdus le contact.
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